Dossier Covid19
(7/4/2022)
A l'attention du Docteur C.
Monsieur,
Suite à notre échange téléphonique du xx mars dernier, lors duquel vous m'avez exposé le traitement que vous avez administré à mon mari, François du xx février au xx février, je souhaite vous écrire ce qui suit.
Mon mari a reçu, pour lutter contre l'infection due au virus Covid d'un de ses poumons et de ses bronches, deux sortes d'antibiotiques, données successivement, (Amoxicilline et Augmentin) ainsi qu'un corticoïde et un anticoagulant.
Mon mari est décédé le xx mars dernier, ses poumons et ses bronches étant totalement pris par cette même infection virale. Nous pouvons en conclure que le traitement s'est avéré inefficace. Notre médecin traitant nous a bien expliqué que les antibiotiques ne peuvent rien contre une infection VIRALE. Elle a raison.
Seulement, grâce à un médecin courageux, je sais que le corps médical français aurait reçu des ordres des instances supérieures pour ne pas soigner correctement les gens atteints de ce virus. Je remercie sincèrement ce médecin, car son courage apaise un peu ma peine.
Comment peut-on alors appeler ce qui vient de se passer pour mon cher époux ? "Non-assistance à personne en danger" ? Je ne saurais dire, mais ça y ressemble étrangement.
Je sais que là où est mon mari maintenant, en présence du Dieu qu’il servait et que je continue de servir, il est délivré de tout mal et de toute la méchanceté de ce monde mauvais. Il est dans la Paix éternelle de Dieu, avec Lui. C’est en sa mémoire que je vous écris ces mots.
Je suis tombée sur la définition du mot « complice », dans le dictionnaire Robert. Elle dit ceci :
« Qui participe avec quelqu’un à une action répréhensible. Qui favorise l’accomplissement d’une chose. Personne qui aide une autre personne dans l’accomplissement d’une action ».
D’autre part, une amie chrétienne m’a rappelé le verset biblique suivant qui fait écho à cette définition :
« Comment pourrais-tu être le complice de mauvais juges qui commettent des crimes au mépris de la Loi ? Ils se liguent contre le juste, ils condamnent l’innocent. Mais l’Eternel est ma forteresse, mon Dieu est le Rocher où je trouve un refuge.
Il fera retomber leur crime sur eux ; Il les réduira au silence par leur méchanceté ; l’Eternel, notre Dieu, les réduira au silence ».
(Psaume 94, verset 20)
Il est toujours temps pour quiconque de se tourner vers Dieu et de lui demander pardon. Il pardonne, car Il est un Dieu de Justice, mais d’Amour aussi. Et je vous encourage sincèrement à le faire.
En souvenir de mon cher mari, Cordialement,
Martine
Juste un mot après le décès de François il y a quelques jours, avec la lettre en PJ que j'ai adressée au "médecin" qui l'a "soigné" à la clinique, pendant 8 jours ; François en est sorti aussi malade (covid, non vacciné bien sûr) qu'il y était rentré. Il est resté 3 H chez nous pour retourner aux Urgences, manquant totalement d'oxygène. Il est monté au Ciel, rejoindre le Seigneur Jésus, quelques jours plus tard.
L'un des médecins m'a avoué que le "corps médical" avait reçu l'ordre de l'Etat français, au tout début de la plandémie, de ne pas soigner les patients atteints du covid (surtout les non vaccinés). Ce médecin était probablement tourmenté par la tournure que prenaient les choses et a eu besoin de me parler ; surtout, je portais un masque sur lequel était marqué en gros : JESUS EST LA VERITE. Ce médecin m'a dit qu'il a vu écrit "Jésus" sur le masque et qu'il a eu besoin de dire la vérité ....!
Le médecin C savait, lui, qu'il fallait faire semblant de soigner. Je crois quand même qu'une bonne partie des soignants, infirmiers, savent et ferment les yeux. La réponse est toujours la même : ne pas perdre son poste .... au détriment des vies humaines. C'est une société de mort, de crime et d'assassinat qui nous entoure, maintenant.
Pour ce qui est de "non assistance à personne en danger", bien sûr que c'est une faute pénale. Voici ce que j'ai trouvé à ce sujet :
"La non-assistance à personne en danger est un délit sanctionné par le code pénal (article 223-6 alinéa 2 ). Lorsqu'une personne peut secourir quelqu'un qui court un risque pour sa vie et qu'elle n'intervient pas, elle peut être poursuivie devant un tribunal."
Là, les personnes sont intervenues, mais en ne donnant pas le bon traitement qui aurait soulagé François. Ce traitement a été interdit par l'Etat français. Ces personnes ont préféré obéir à l'Etat plutôt que de soigner correctement mon mari (et tant d'autres). Elles sont donc complices. Je n'ai pas l'intention de les poursuivre en justice (Il n'y a plus de justice maintenant dans ce monde, mais seulement en Dieu), mais je tenais à leur souligner la gravité de leurs actes.
Mon fils, et moi sommes brisés ; ce qui nous soutient c'est l'espérance très forte de revoir François très bientôt, avec le Seigneur.
Sois béni.
Martine
Le droit au refus de la vaccination. (Hélène Hécochard - Blog Mediapart - 7/11/2017)
Il y a lieu de penser que le comportement du personnel médical observé dans ce cas-ci soit également (consciemment chez ceux qui établissent les protocoles et inconsciemment chez ceux qui les appliquent), des mesures punitives à l'égard des non-vaccinés. À ce titre, on peut se rappeler un personnage qui avait dit expressément vouloir "emmerder les non-vaccinés"... Le dossier suivant offre des preuves concrètes de mesures punitives diverses (éducatives, économiques, médicales) prises à l'égard des non-vaccinés.
Le chantage vaccinal / Vaccine Blackmail