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Samizdat

Ce Dieu si Merveilleux.

Témoignage d'Odile Delarbre - Mathé



A 30 ans, Odile fut saisie par Jésus-Christ qui bouleversa sa vie. Sa rencontre avec le Dieu vivant va l'entraîner dans une vie centrée sur Lui, ayant découvert qu'il était la réponse à toutes les questions, à tous les problèmes, à toutes les angoisses, bref à toutes les attentes de l'humanité.

La foi en Dieu n'est pas une affaire de religion, mais de relation personnelle que tout être humain est appelé à découvrir ; cette relation ne peut avoir lieu qu'à travers Jésus tel que révélé dans La Bible.

Versée dans l’astrologie, Odile prédisait par les astres. Mais elle va découvrir que notre destinée est cachée en Jésus-Christ ! Sa vie en sera complètement bouleversée...


Printemps 1990
200 pages en couleurs sur papier glacé, avec photos et illustrations.
Format : 16 x 24 cm
ISBN : 978-2-9527269 - Dépôt légal : 4e trimestre 2006

Ce livre rassemble les témoignages de Jean-Michel, Denis, Jean-François, André, Mohammed, Odile, Julien, Roland, Rose, Joël, Jacques, Sylvie, Alexandre, Danièle, Nicolas, Ian, Christian, Rafika, Marc, Laurence, etc.
Français, Canadiens, Africains, ou d'une autre nationalité... Ils étaient athées, juifs, musulmans, catholiques, ou d'une autre religion... Venant de tous milieux socio-professionnels... Tous différents et pourtant tous semblables...

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Je suis dans ma trentième année, célibataire, une activité professionnelle intéressante, j’entendis pour la première fois quelqu’un me dire " Dieu t’aime ! Jésus est vivant et Il t’aime ! ". C’était par un collègue de travail qui venait de croire en Dieu et d’expérimenter l’amour de Jésus-Christ, après avoir entendu la prédication de l’Evangile. Imaginez ma surprise ! J’avais toujours cru en Jésus, mais comme un homme qui aurait vécu… quelque part dans l’Histoire, avant les rois... Et puis, quand j’allais au catéchisme, petite fille, j’étais restée sur certains points d’interrogation : pourquoi, sur le vitrail de la petite église de campagne où j’habitais, l’agneau était-il dans le ciel, car pour moi, les moutons vivaient dans les prés, bien posés sur l’herbe grasse. Et puis, Jésus, pourquoi était-il toujours représenté avec une couronne d’épine sur la tête, que signifiait-elle exactement ? Et Marie, si elle avait fait le bébé Jésus sans " coucher " avec Joseph, comment était-il entré dans le ventre ? La réponse de la vieille demoiselle qui nous faisait le catéchisme, Il a été conçu par le Saint-Esprit, ne me donnait pas entière satisfaction ! Je croyais en Jésus, comme tous les enfants à qui on l’enseigne, mais ignorais complètement qu’il voulait et surtout qu’il POUVAIT venir vivre en moi, par son Esprit, plus précisément !

J’aimais prononcer le mot " Jésus, Jésus... " quand j’étais jeune, le soir, sous les draps… Je faisais aussi des rêves étranges : une vie au Paradis, tous habillés de blanc dans la pureté, la sainteté ; ou bien, un ciel complètement rouge, lourd de ce sang qui n’attendait que se déverser sur mon village natal dans une petite bourgade de Bourgogne… Mais tout cela restait des énigmes. Je pensais quelque part rencontrer Dieu dans les églises et cathédrales, mais sans succès.

A la recherche d’une explication sur notre vie, j’aimais lire et étudier le comportement humain, la psychologie humaine, mais ni Freud ni les psychologues ni les philosophes ne parvenaient à s’entendre sur une explication cohérente du genre humain ; je me suis alors tournée vers le monde invisible et, à 25 ans, me suis lancée dans la pratique de l’astrologie. Mon passe-temps favori était d’apprendre à comprendre le comportement humain à travers la position des planètes, ainsi que tenter de lire le passé et l’avenir, et très rapidement, j’ai su monter des thèmes astraux. Je lisais les cartes du ciel de tous ceux qui me confiaient leur date et lieu de naissance à un point tel que je mémorisais toutes les cartes du ciel dans ma tête. J’avais la tête dans les étoiles ! J’en étais arrivée à me faire payer mes travaux qui rencontraient de plus en plus de succès ! Et comme je dressais le portrait des personnes qui m’interrogeaient avec une telle précision - alors que je ne les connaissais pas - elles me faisaient confiance pour que je leur parle de leur avenir.

J’étais dans cette attitude spirituelle, quand Dieu me frappa sur l’épaule – ou à la porte de mon cœur, comme vous voulez ! – et me demanda de faire un demi-tour complet car j’allais dans la mauvaise direction, ou pour mieux m’exprimer à l’égard de ceux qui penseraient que la direction de ma vie n’était pas si mauvaise que ça comparée à d’autres, j’allais dans une direction qui n’était pas du tout agréable à Dieu. Jugez-en vous aussi :

« C’est à Dieu que tu fais mal, en pratiquant le métier d’astrologue ! », me dit un de mes collègues. A Dieu ? Moi, petite poussière, je pouvais faire mal à Dieu ? Lui, là-haut, avait-il donc un quelque intérêt envers ma personne ? Comment était-ce possible ? Il était donc vivant ? Il voyait et entendait ?

Je blessais Dieu ! Cette vérité me traversa le cœur comme une épée tranchante. Et je sentis mon cœur battre à tout rompre quand j’entendis ces paroles. Mon collègue m’avait branché un projecteur de 100 000 watts en pleine figure ! Mais Ô combien je le remercie maintenant de ne pas avoir mâché ses mots ! Ô combien la Vérité est libératrice et salvatrice ! N’arrêtez jamais de dire la Vérité (celle de Dieu, bien sûr), que les occasions soient bonnes ou mauvaises. Prêchez, prêchez, n’attendez pas que les autres soient prêts à vous entendre car aucun être humain n’est prêt à entendre qu’il est pécheur, coupable de la transgression la plus grande qui est de ne pas tourner ses yeux vers le Dieu de la création, vers l’Homme-Dieu qui a été cloué sur la croix de Golgotha pour nous racheter au prix de son sang ! Non, n’arrêtez pas, car qui sait si vous n’aurez pas en face de vous le cœur d’une jeune femme pécheresse qui n’attendait que connaître (enfin !) la réponse à la triple question : Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ? Où allons-nous ?

Je cherchais Dieu (tout en ignorant que c’était lui que je cherchais) dans la psychologie, dans la peinture, dans la poésie, dans l’astrologie : je ne l’avais pas trouvé. J’avais cherché Dieu dans l’homme, dans sa complexité intérieure et l’étude de son comportement. Je cherchais Dieu dans mes relations amicales et sociales. Je cherchais Dieu dans les relations amoureuses : je croyais que c’était l’homme, l’amour d’un homme, le mariage, qui était la réponse à mes questions, ce qui m’amenait à multiplier mes relations avec le sexe masculin… dans l’espoir de trouver le " prince charmant ", et comme je n’avais rien compris, je pensais qu’il fallait passer dans la chambre à coucher en priorité pour construire une famille ! Quelles étranges fondations fragiles et peu fiables...

Je suivais le mouvement de la vie, avec ses modes et ses démodes, je n’osais penser le contraire de ce que la masse (ou l’élite) acceptait de croire, même si cela me conduisait à une dégénérescence de l’intelligence et du libre-arbitre. J’étais impudique dans mon comportement de vie, par exemple sur les plages, les seins à l’air, et je ne voyais pas l’absurdité de mettre des mini-jupes ou des décolletés profonds. Je me croyais sage alors que j’étais folle. Je donnais des conseils aux autres, mais ils étaient pour la plupart inspirés par la sagesse humaine et non par la sagesse divine. Les sujets de mes dissertations sur la vie étaient sans importance, et les conclusions de celles-ci n’aboutissaient à rien de transcendant. J’ai maintenant compris que les philosophies de ce monde sont trompeuses... elles sont mortelles pour l’âme car inspirées par ce qui périt.. Elles ont souvent l’apparence de la piété, mais elles en renient ce qui en fait la force. De plus les philosophies et doctrines humaines n’apportent rien de plus que des thèses et des antithèses sans cesse remises en question ! Et l’homme continue de tourner en rond.

J’étais loin de mes parents géographiquement, certainement leur présence aurait pu m’aider à ne pas faire les bêtises que j’ai faites, quoique je n’en sois pas certaine car l’état d’esprit de la société dans laquelle nous vivons devient la norme de pensée et dépasse ainsi ce que les parents peuvent nous enseigner de bon. Les agissements de ce monde sont corrompus et forcément bien éloignés des oeuvres que Dieu aimerait que nous pratiquions. Mais qui veut encore écouter la voix de la Sagesse ? Le Gouvernement, au nom de la laïcité (je dirais plutôt au nom de l’athéisme !), met Dieu à la porte de son palais présidentiel ; l’Education Nationale le met à la porte de nos écoles privant ainsi nos enfants d’apprendre l’amour à travers la vie du Christ, et après on s’étonne que notre jeunesse soit devenue violente, suicidaire, irrespectueuse et impudique. J’entends des grands-parents qui, pourtant bien que connaissant les vertus du mariage et de la famille, ne conseillent plus avec fermeté à leurs enfants de se marier, à rechercher ardemment à rester unis, fidèles, et à repousser l’idée même du divorce ! […]


Noël 1989
Maman m’offre la Bible de mes grands-parents en me disant : « Tu m’as déjà dit que tu aimerais bien savoir ce que révèle la Bible, je t’offre donc cette vieille version Louis Segond du début du siècle ! » Mais entre Noël et le printemps suivant, pas un seul désir de l’ouvrir ! Vous pensez bien que le diable ne voulait pas que je l’ouvre, car il sait que les secrets de la sainteté et du bonheur sont dans chacune de ses pages. Vous allez me dire, mais que vient faire le diable dans cette affaire ? Dieu dit que le diable déteste que nous parvenions à la connaissance de la vérité (2 Tm. 2:25-26). L’ennemi de votre âme, c’est lui !

Puis, mon collègue Jean-François vint me parler de Dieu et c’est ainsi que le Saint-Esprit commença son œuvre en moi. Sachez que le dernier thème astral que je fis, ce n’était pas avec un cœur réjoui et tranquille… l’ennemi qui agissait en moi était sur le point de périr, anéanti par l’épée de l’Esprit.

Alors qu’aucun homme, qu’aucun bon conseil ou qu’aucun témoignage n’aurait pu me détourner de mes voies, Jésus seul a pu le faire : avouez qu’Il est fort, très fort ! Dieu est véritablement le Tout-Puissant ! Ne me demandez pas comment le miracle se fit, mais après avoir cru en l’œuvre de rédemption du Christ à travers les larmes de la repentance ; après avoir compris que l’homme n’a pas été créé pour rester seul le maître de sa vie mais qu’il doit se soumettre à Dieu en qui est la source de la " vraie vie ", et après avoir imploré de nombreuses fois la présence de l’Esprit-Saint en moi afin d’avoir la capacité de vivre pour Dieu, je reçus à domicile, alors que j’étais seule devant mon bol de café au lait, le baptême dans l’Esprit tout comme il en était ainsi au milieu des premiers chrétiens, il y a 2 000 ans, lors de la première Pentecôte. Dieu ne ment pas : ce qu’il a fait hier, il le fait toujours aujourd’hui et il le fera demain. Si vous lui demandez le Saint-Esprit, il vous l’enverra car telle est sa volonté que tous les hommes parviennent à sa connaissance et à celle de son Fils, Jésus-Christ.

Dès cet instant, une joie et une paix incommensurables sont entrées en moi ! J’avais enfin trouvé (retrouvé ?) mon " Père céleste ", je n’étais plus orpheline, séparée du ciel, errante sur une terre sans savoir ce que j’y faisais ni pour qui, ni pour quoi j’y vivais. Le mot " mort " ne portait plus en lui le sens fatidique que les incroyants lui prêtent. Croire en l’avenir à travers l’astrologie n’avait plus aucun sens, puisque le Dieu vivant qui règne au ciel et sur la terre entend nos cris et répond à nos prières, donc croire en la fatalité m’apparaissait comme une vue d’esprit bien déformée ! Je devins amnésique sur le champ de cinq années d’astrologie et je détruisis tous mes livres d’étude.

Libérée aussi de mentir pour parvenir, de me mettre un masque d’apparat, d’être hypocrite en un mot. Libérée de croire aussi que l’homme n’existe qu’à travers ses possessions : tout ce qui se voit disparaîtra, tout ce qui ne se voit pas demeurera. Tous mes comportements de vie étaient remis en cause et mes façons de penser étaient passées au crible : Dieu me jugeait à travers sa Parole. Enfin, j’avais trouvé la réponse à toutes mes questions existentielles et j’étais convaincue que je pouvais mettre tout mon amour et ma confiance en Lui. J’avais rencontré l’Homme de ma vie : Jésus, et le Dieu à qui seul doit être portée toute adoration : le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob.

Le Saint-Esprit commençait mon éducation et je buvais cette Bible après toutes ces années d’errance dans le désert. Ma soif était inextinguible ; je me nourrissais de chaque verset et m’en délectais jour et nuit. Je découvrais ce Jésus merveilleux, ses œuvres d’amour, de compassion, de justice, de guérison ; ses paroles qui donnent la vie, qui libèrent ; sa sainteté ; son hardiesse ; sa puissance. Mais surtout de savoir que les œuvres qu’il avait accomplies sur cette terre pendant ses trois années de ministère pouvaient continuer de se perpétuer (puisqu’il est vivant), alors là, j’en étais stupéfaite ! Ainsi, me disais-je, si je respecte ses commandements, et si j’obéis à sa Parole, il agira ? Si je lui demande d’intervenir concrètement pour guérir ou pour répondre à une prière, il va le faire ? Je me devais d’en être convaincue afin de ne pas faire de bêtise car cet enseignement-là, jamais je ne l’avais entendu, ni ne l’avais vu se pratiquer dans le monde des religions chrétiennes que je connaissais très mal, je l’avoue.

C’est ainsi que le Seigneur me conduisit à croire que tout ce qui est dans la Bible est LA VERITE : Jésus est la Parole incarnée. Les promesses de Dieu sont pour nous aujourd’hui ; Dieu ne varie pas et ce qu’il a promis, il l’accomplit […]

Les extraits de la Bible ci-après sont les piliers de mes premières tentatives de transmettre l’Evangile à mes connaissances, la source d’inspiration de mes premières prières et impositions de mains que je fis quand l’Esprit me poussait, et Dieu confirmait sa parole par les miracles qui l’accompagnaient. Ma foi en a été ainsi décuplée, et encore plus récemment, le 11 décembre 2005, Dieu a répondu en guérissant mon frère Sylvain de douleurs indescriptibles dans son genou droit qui avait doublé de volume. Sylvain se voyait déjà à nouveau sur la table d’opération à la clinique où 3 ans plus tôt, il était passé - son métier de menuisier le contraint à supporter de très lourdes charges sur tout son corps. Le lendemain son genou avait complètement dégonflé et à ce jour (octobre 2007), les douleurs et raideurs ne sont pas réapparues malgré ses activités... qui n’ont pas diminué !

Et je veux rajouter que ces promesses-là sont pour tous ! Dieu n’attend pas qu’un chrétien aille à la Faculté de Théologie pour l’utiliser : un chrétien entre au service du Maître dès qu’il a reçu l’Esprit-Saint ! Certes, pour devenir un bon enseignant de la Parole, il est fortement conseillé de prendre des cours bibliques ; on ne peut pas inventer ce que l’on ignore. Mais il y a une différence entre enseigner les Ecritures et transmettre l’Evangile.

Si vous attendez d’avoir compris toute la Bible, de connaître tous les versets par coeur, d’être un superman parfait sous toutes coutures et d’être un super héros de la foi pour commencer à transmettre ce que Dieu a mis en vous, vous risquez d’être mort avant ! Ce n’est pas une grande foi que vous devez avoir, mais de croire en un grand Dieu ! […]