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Le transfert horizontal de gènes, autrefois vanté comme une preuve clé de l'évolution, s'effondre face à des découvertes scientifiques récentes. Contrairement à ce que prétendent les partisans de l'évolution, l'acquisition de nouveaux gènes chez les bactéries ne mène pas à une expansion génomique mais, au contraire, à un remplacement et une réduction. Les études sur Caulobacter crescentus et d'autres bactéries montrent que le transfert de gènes s'accompagne souvent d'une perte de matériel génétique, plutôt que d'une accumulation. De plus, les génomes bactériens, après des générations de pression adaptative, montrent une diminution nette, comme le prouve l'expérience de 50 000 générations de Richard Lenski, où les bactéries ont perdu environ 1,4 % de leur génome initial.
Ces résultats ne soutiennent pas l'idée d'une évolution progressive et enrichissante, mais plutôt celle d'une dégénérescence génétique, avec un appauvrissement des informations biologiques. Et dans le cas des bactéries, malgré des milliers de générations, il n'y a pas de gain de complexité mais plutôt une détérioration. Quant aux humains, aucune preuve tangible de transfert horizontal de gènes n'a été observée. Les conclusions sont claires : l’évolution, telle qu'elle est décrite dans les manuels, ne tient plus la route. Les preuves s'accumulent, mais elles ne soutiennent pas l’évolution – elles la démystifient.
Faits scientifiques complexes : Le génome de Caulobacter crescentus CB2A contient 114 insertions de matériel génétique de la souche NA1000, illustrant un modèle de recombinaison préférentielle dans des régions non homologues flanquées de régions d'homologie. Au lieu d’ajouter simplement du matériel génétique, ces transferts remplacent des segments du génome existant. Les génomes d'autres bactéries et archées montrent des phénomènes similaires, indiquant un modèle général de transfert horizontal de gènes qui mène au remplacement plutôt qu'à l'enrichissement. Après 50 000 générations dans l’expérience de Lenski, les bactéries ont subi une diminution de 1,4 % de leur génome, ce qui suggère une perte d’information génétique plutôt qu'une évolution.
A rapid decline in Bacterial genome size after intense adaptation. (Tomi Aalto - Modern Science refutes the Evolutionary theory - 2/8/2023)
Tempo and mode of genome evolution in a 50,000-generation experiment. (Olivier Tenaillon, Jeffrey E Barrick, Noah Ribeck, Daniel E Deatherage, Jeffrey L Blanchard, Aurko Dasgupta, Gabriel C Wu, Sébastien Wielgoss, Stéphane Cruveiller, Claudine Médigue, Dominique Schneider, Richard E Lenski - PubMed Central/Nature - August 2016) -> analyse de 264 genomes tirés de 12 populations d'Escherichia coli au cours de 50,000 generations. - Après 50 000 générations, la longueur moyenne du génome a diminué de 63 kpb (~1,4 %) par rapport à l'ancêtre »