Joseph Mastropaolo, Ph. D.
L'évolution prétend être une science, mais elle nous leurre, car aucune de ses expérimentations n'a eu de succès. Il s'agit d'une doctrine antireligieuse et occulte parce que, comme le mysticisme, l'astrologie ou l'alchimie, on ne la retrouve nulle part dans l'univers. La loi que l'on découvre de par l'univers entier est la dévolution, car le vivant comme le non vivant se désintègre. Comme le hasard, le temps fait toujours des ravages, il ne construit jamais. Comme le hasard, le temps procède à la destruction des éléments les plus complexes, tout ce qui vit, aux plus simples, tout ce qui ne vit pas. Comme le hasard, le temps entraîne toute chose vivante vers la mort, faisant ensuite pourrir les plantes et putréfier les animaux, suivant un processus de désintégration qui réduit les molécules les plus complexes de l'univers à leurs éléments constitutifs les plus simples. Le temps et le hasard ne créent jamais la vie qui est la forme d'énergie la plus complexe, ni ne la diversifient-ils, ni ne la rendent-ils la plus complexe. Ils ne contribuent pas non plus à la diversifier ni à la complexifier. Le temps et le hasard font toujours diminuer la quantité d'énergie disponible, ils contribuent toujours à sa désintégration ainsi qu'à celle de la masse de l'univers. C'est universellement que sous l'emprise du temps et l'effet du hasard masse et énergie dégénèrent. Natura semper scalas descendet , la nature décroît toujours.
L'une des manières de clarifier l'évolution est d'examiner ses définitions. La première est celle d'un changement qui survient avec le temps : “De tels changements ayant été observés de façon répétée, l'évolution de ce genre est un fait. ” (Affiliation Scientifique Américaine, 1996). Cependant, selon l' observation commune, chaque individu de la biosphère vieillit et meurt. Une fois morts, les organismes pourrissent ou se décomposent en éléments plus simples non-vivants. Individuellement, chaque chose vivante se désagrège. Les formes de vie telles que celles des populations régressent également. D'éléments vivants, elles passent à une extinction permanente. Là encore, on observe une dévolution, et non une évolution. L'univers non vivant se désintègre également (Humphreys 1978). La première définition de l'évolution s'oppose donc aux milliards d'observations conséquentes relevées par des milliards de personnes sur une période de plusieurs milliers d'années. L'univers entier, vivant comme non vivant, se désintègre. Le seul fait observable est la dévolution.
La deuxième définition de l'évolution est celle de la descendance commune. Cette vision que toutes (ou presque toutes)les formes de vie, actuelles ou éteintes ont un ancêtre commun : une théorie traitant de l'histoire de la vie ... l'observation basée sur le bon sens qui veut que tout rejeton doive avoir des parents a incité plusieurs scientifiques à traiter l'inférence d'une ascendance commune comme s'il s'agissait d'un fait. ” (Affiliation Scientifique Américaine 1996). Cependant, selon nos observations, les individus vieillissent et meurent dans la même espèce que celle dans laquelle ils sont nés. Ils se reproduisent également selon leur espèce. Les formes de vie des populations présentent des caractéristiques variables, comme la taille, le poids, la couleur et la vitesse de déplacement, mais chacun se reproduit selon son espèce. Les chiens, par exemple, peuvent être décrits selon leur taille ou d'autres caractéristiques propres aux chiens. Certains comme le grand danois peuvent être jusqu'à six fois plus gros que les chihuahuas, mais ces deux races sont néanmoins des races de chiens. Il est reconnu que toute variation entre parents et rejeton dans l'ensemble de la faune et de la flore est conforme à l'espèce. Aucun chihuahua n'a donné naissance à un chat, et aucun grand danois à un poulain. Les formes de vie ne se transforment pas en d'autres formes de vie. Les formes de vie au niveau des individus et des populations dégénèrent jusqu'à l'extinction mais n'évoluent jamais. La deuxième définition de l'évolution s'oppose donc également aux billions d'observations conséquentes de milliards de personnes sur une période de plusieurs milliers d'années. Là encore, la dévolution est le seul fait observé.
La troisième définition de l'évolution est la sélection naturelle :“Cette théorie (qui se base sur les variations génétiques telles que la mutation)a été le mécanisme primaire des changements biologiques décrits dans la première et la deuxième définition. ” ((Dans sa version originale, l'Affiliation Scientifique Américaine 1996 insiste sur cet élément). Comme nous l'avons observé précédemment, la première et la deuxième définition sont des définitions de dévolution et non d'évolution.
Les êtres humains ne deviennent pas des primates ni vice versa, les dinosaures ne deviennent pas des oiseaux non plus, ni vice versa. La sélection naturelle est simplement le procédé de reproduction qui confine les variations de chaque forme de vie à celles définies par son espèce. Tout comme le vieillissement observé depuis le début de l'histoire, cette reproduction mène inévitablement l'espèce à une extinction permanente. Ni individu ni population ne vivent pour toujours. Dans le cas des individus et des populations, on observe toujours une tendance vers l'extinction, jamais vers l'évolution.
Attardons-nous maintenant à considérer si les variations génétiques, comme la mutation, pourraient d'une quelconque façon mitiger l'intuition qui nous dit que l'évolution est impossible. Les évolutionnistes désirent nous faire croire que les mutations vont entraîner l'apparition de nouvelles et meilleures formes de vie qui résulteront en plusieurs espèces de plantes et d'animaux, soit une diversification, et une progression vers des formes de vie supérieures et plus complexes. Afin de clarifier ce raisonnement, nous allons nous prêter à une expérience mentale. Imaginons que nous démontions dans l'ordre où elles ont été assemblées la totalité des pièces de la fusée Delta qui a mis un satellite de communication en orbite autour de la Terre. Nouons un foulard sur nos yeux, et tournons environ dix fois sur nous-mêmes, puis posons la main sur une des pièces de la fusée. Maintenant faisons muter la pièce. S'il s'agit d'un circuit, coupons une connexion, ou branchons-la à l'endroit où nous avons posé la main. S'il s'agit d'une pièce métallique, tordons-la, coupons-la, remplaçons-la ou bien laissons-la simplement de côté. Assemblons les pièces de la fusée et essayons-la. Répétons le processus. Si la fusée parvient à mener le satellite à une meilleure orbite, alors les mutations auront amélioré la fusée. Si, à cause des mutations, le satellite de communication est devenu un satellite de navigation orbitale, alors les mutations auront entraîné la diversité. Si les mutations ont produit un véhicule pour l'exploration humaine sur Mars avec un mécanisme de retour sécuritaire, alors les mutations auront produit une forme de fusée plus performante. Si la fusée n'arrive pas à décoller ou encore qu'elle explose, les mutations auront accéléré son extinction. Évidemment, cette dernière supposition est la plus probable, car les mutations doivent obéir aux lois de la physique et des probabilités mathématiques qui exigent la dévolution, et non l'évolution. Ainsi les mutations de toutes choses vivantes relèvent de troubles génétiques qui accélèrent l'extinction, non l'évolution. Considérons à présent les mutations humaines.
Elles ont été cataloguées depuis 1966 et sont rapportées médicalement comme affections génétiques humaines (McKusick 1998). Si l'évolution était vraie, alors nous devrions observer une décroissance future des affections génétiques. Selon la première définition de l'évolution, le changement se démontre avec le passage du temps, et selon la troisième, par la sélection naturelle. Au lieu de cela, ce que nous observons est l'augmentation exponentielle d'affections génétiques, ce qui s'oppose précisément à la théorie de l'évolution, et confirme la dévolution menant à l'extinction permanente. Ainsi les données réelles vous ont-elles été présentées, prouvant que la dévolution est la seule théorie qui puisse être considérée comme un fait, et que l'évolution, n'est qu'un mythe que Anaximandre a créé il y a 2 500 ans (Durant, 1939) et que Darwin a répété comme un perroquet il y a 140 ans (Darwin, 1859).
L'évolution désire faire croire au monde entier que les éléments chimiques de l'océan des temps anciens se sont simplement combinés par hasard afin de former le premier acide aminé nécessaire à la vie. C'est par hasard, l'histoire continue, que les autres 19 acides aminés nécessaires à la vie se sont également formés près du premier. Ensuite, à l'encontre des lois de la chimie et du hasard, on nous dit de croire que les formes d'acides aminés gauchers seulement se sont d'une manière quelconque sélectionnées parmi leurs jumeaux droitiers en nombre égal à eux. Nous devons ensuite croire que ces acides aminés s'étant dissociés d'eux-mêmes se sont attachés seulement avec des liaisons peptides dans des séquences exactes afin de prendre les configurations première, secondaire, tertiaire puis quaternaire nécessaires à chacune des myriades de protéines configurées de façon unique et servant de matériel brut pour la construction des milliers de mécanismes complexes d'une cellule vivante.
Notons premièrement qu'une œuvre de science-fiction exige moins de crédulité de notre part et que deuxièmement, même si toutes les protéines nécessaires à ces mécanismes s'étaient si miraculeusement assemblées, elles ne pourraient nullement produire une cellule vivante sans les éléments suivants :l'ADN, l'ARNm, les organelles, les systèmes d'énergie, les enzymes, une membrane des portes extraordinaire, une architecture interne extrêmement complexe et de nombreux autres éléments à propos desquels on ne connaît à peu près rien (Behe 1996, Denton 1986, Holum 1998). Donc, nous admettons que l'évolution simulée d'une seule des composantes brutes de la protéine sous-estime grandement la probabilité de l'évolution d'une cellule vivante.
Si un calcul de probabilité est fait sur la construction évolutive de la molécule d'une protéine, alors les principes de la physique, de la chimie, des mathématiques, de la théorie informative, de la théorie du code, de la géométrie stéréographique et de la biologie moléculaire doivent être employés. Tous les acides aminés essentiels doivent être correctement disposés, et cela avec les formes gauchères seulement et avec les liaisons peptides seulement, et leur disposition doit donner une permissivité aux substituts qui ne détruisent pas l'utilité biologique. Selon ces données, la probabilité de faire évoluer une seule molécule d'iso-1-cytochrome c a été évaluée à 2, 3 fois un trillion vigintillion contre une que le fait se produise. Un trillion vigintillion se compose de 75 zéros. L'auteur de cette étude a conclu en disant :“L'origine de la vie survenue par hasard dans une soupe primitive est impossible en probabilités de la même manière qu'une machine en mouvement perpétuel est impossible en probabilités. ” (Yockey 1992) Afin de donner un aperçu supplémentaire, l'auteur a d'envisager une mutation par seconde à partir du commencement du temps cosmique jusqu'au présent et il a trouvé que cette molécule unique n'en serait qu' à 43% de son achèvement. Cela est désastreux pour l'évolution, parce qu'il ne reste aucun temps pour l'achèvement de cette molécule, aucun temps pour l'évolution des autres 60 000 protéines nécessaires à l'existence du matériel brut de la protéine d'une seule cellule vivante minime (Denton 1986, Morowitz 1966), et aucun temps pour construire la biosphère entière et son écologie. Afin d'avoir la possibilité d'être vraie, l'évolution ne nécessiterait pas seulement 15 milliards (15 x 109 )d'années depuis le commencement de l'univers ni même 15 x 1022 d'années pour une seule molécule d'une seule protéine. L'évolution aurait besoin de 15 x 10~∞ années, 15 suivi d'un nombre quasi infini de zéros. Évidemment, l'esprit évolutionniste plonge dans une terre de miracles presque infinis.
Cependant, s'il y avait du temps, alors la probabilité s'élèverait à plus de 104, 478, 296 contre une que l'évolution des 60 000 protéines nécessaires pour la plus petite cellule vivante puisse être probable. Avancer qu'un être humain rationnel croirait une chose aussi impossible est l'un des plus grands euphémismes de toute l'histoire. Mais, soyons patient, et laissons la science identifier les critères de l'impossible.
Le raisonnement se poursuit ainsi. Estimez le nombre de secondes qui nous séparent du commencement du temps cosmique, et par bonne mesure, multipliez cela par un chiffre approximatif de 10 millions. Il n'y a certainement pas eu plus de 10 puissance 25 secondes depuis le commencement des temps. À présent, tentons de découvrir combien de fois en une seconde quelque chose peut être converti en autre chose. La réponse est 10 puissance 45 fois par seconde. Si ces deux nombres sont multipliés, le produit est l'estimation du nombre total de possibilités, soit 10 puissance 70, pour que quelque chose se soit produit depuis le début des temps.
Maintenant, estimons combien d'agents il peut y avoir dans l'univers pour produire quelque chose. Ne considérons pas des agents de la grosseur d'un être humain, mais plutôt des agents aussi petits qu'une particule fondamentale telle qu'un électron. Ce nombre a été estimé à 10 puissance 80 pour l'univers entier. Si nous multiplions le nombre d'agents possibles, 10 puissance 80, par le nombre d'opportunités possibles, 10 puissance 70, alors le produit est 10 puissance 150 opportunités pour tous les agents possibles depuis le commencement du temps cosmique jusqu'à présent afin de permettre que quelque chose se produise. Si la probabilité est plus grande que 10 puissance 150 contre une contre la possibilité que quelque chose se produise, alors rien ne pourrait s'être produit, c'est scientifiquement impossible (Dembski 1998). Si la probabilité d'évolution pour une molécule de protéine est approximativement 10 puissance 75 contre une, et pour deux protéines 10 puissance 150 contre une, alors, il est clair qu'obtenir deux molécules de protéine par évolution est impossible. La cellule vivante la plus petite a besoin de 60 000 protéines (Morowitz 1966)et la probabilité de les obtenir par l'évolution est (2. 3 x 10 ^75 )^ 60 000 ==10 ^4, 478, 296 contre une contre cela (Yockey 1992, Mastropaolo 1999). En d'autres mots, la croyance selon laquelle “la vie est apparue dans les anciens océans ” est plus que 10 ^4, 478, 146 (1 suivi de 4,478,146 zéros) fois plus improbable que le critère scientifique de l'impossible. Pour le bénéfice de cette discussion, définissons un zillion comme le chiffre 1 suivi de plus de 4 millions de zéros. Maintenant, nous pouvons dire que cette déclaration :“la vie est apparue dans les océans anciens ” (Johnson 1998)“cette soupe organique originale ” (Miller et Levine 1998) est plus d'un zillion de fois plus impossible que la définition scientifique de l'impossible. Ou encore, nous pouvons dire que l'évolution est plus impossible que plus d'un zillion de machines en mouvement perpétuel. De tels extrêmes d'impossibles font davantage fonctionner l'imagination que n'importe quel conte de fées. Qu'il est grotesque que cette évolution qui dépasse toute imagination, se retrouve partout, à grimacer dans les écoles publiques, dans les universités et dans tous les médias du monde.
Considérons comme impossible le cas de la Fée Bleue qui avait donné vie à la marionnette Pinocchio, puis avait transformé son esprit en petit garçon, alors que la marionnette gisait, abandonnée, dans un coin de l'atelier de Gepetto (Collodi 1883). Donnons à la Fée Bleue une probabilité de 10 puissance 150 contre une qu'elle ait jamais existé depuis le début du temps cosmique. Elle n'est qu'une une fée et son existence est absolument impossible. À présent, considérons cette définition de l'impossible en convertissant chaque unité de probabilité de 10 puissance150 en fée bleue. De cette manière, nous pourrions asseoir une fée bleue sur chaque particule élémentaire, chaque électron par exemple, de l'univers entier. Ceci mettrait en place10 puissance 80 fées bleues. Maintenant jouons au jeu enfantin de la chaise musicale aussi rapidement qu'il est possible de le faire, en commençant au début du temps cosmique. Au fur et à mesure que chaque particule élémentaire prise comme chaise est enlevée 10 puissance 45 fois par seconde pendant les 10 puissance 25 secondes depuis le début des temps, nous avons aujourd'hui 10 puissance 70 fées éliminées du jeu, 10 puissance 10 fées encore dans le jeu, et 10 puissance 70 fées attendant patiemment leur tour de jouer. Si nous convertissons en fées le reste de la probabilité de faire évoluer seulement le matériel brut de la protéine d'une cellule vivante, c'est à dire une toute petite partie de ce qui est nécessaire à la formation d'une cellule vivante, soit 10 puissance 4, 478, 146, nous aurons plus d'un zillion de fées bleues attendant leur tour de jouer au jeu de chaises musicales cosmiques. Pendant qu'elles attendraient, il y en aurait 10 puissance 4, 478, 066 d'attroupées sur chaque particule élémentaire de l'univers. Chaque feuille, chaque grain de sable, chaque goutte d'eau des mers et des nuages, le soleil, les planètes et toutes les étoiles de toutes les galaxies seraient d'un bleu solide à l'intérieur comme à l'extérieur. L'on peut voir clairement ne serait-ce qu'avec ce minuscule aperçu sur l'évolution que c'est, de loin, le plus grand conte de fées jamais raconté. L'évolution en tant que conte de fées est plus d'un zillion de fois plus hallucinante que si l'on enseignait aux étudiants en biologie que la Fée Bleue a créé la première cellule vivante d'une touche de sa baguette magique. Ou bien, exposons la chose ainsi. Afin de rendre la biologie un zillion de fois plus vraie et plus scientifique qu'elle est aujourd'hui, enseignez que toutes les formes de vie ont été générées par une touche de la baguette magique de la Fée Bleue. Et de rendre la biologie un autre zillion de fois plus vraie et plus scientifique de la Fée Bleue, enseignez que toutes les formes de vie ont été générées par une intelligence suprême, une intelligence dépassant l'entendement humain par des années lumière, et non par la Fée Bleue. Et si les dictateurs de l'évolution persistent dans leur tyrannie globale, alors laissez-nous enseigner la théorie des chaises musicales cosmiques à l'école. Si les étudiants doivent subir un lavage de cerveau avec le plus grand conte de fées jamais raconté au lieu d'étudier la biologie, le moins que l'on puisse faire est de leur offrir un peu d'amusement pour soutenir leur moral dans leurs camps de concentration.
Joseph Mastropaolo détient un baccalauréat en kinésiologie du collège Brooklyn, une maîtrise en kinésiologie de l'université de l'Illinois et un doctorat, également en kinésiologie, de l'université de l'Iowa. Il a aussi étudié l'électrocardiographie et la biophysique de la circulation à la Faculté de médecine de l'université de Chicago pendant son grade d'agrégé post-doctorat des Instituts National de Santé en physiologie humaine. M. Mastropaolo est Fellow du Council on Epidemiology et détient un brevet d'invention en conditionnement d'équipage pour les missions spatiales habitées de façon prolongée. |
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[1] - La fée aux cheveux turquoise anima la marionnette de bois Pinocchio de l'esprit d'un garçon. Puis, elle transforma cet esprit en un garçon humain spontanément généré. La marionnette abandonnée dans un coin est redevenue inanimée sans la trace du rôle que la fée jouait dans les abiogenèses du garçon. Les parallèles entre les abiogenèses (la structure et génération fonctionnelles spontanées presque infinies de créer la vie à partir d'éléments non-vivants)et les monogénismes (les presque infinies diversités et complexités progressives générées spontanément) de l'évolution sont frappants. Anaximander, Darwin et Lorenzini ont suivi le même mythe et chacun d'eux en a fait un charmant conte de fées pour la philosophie antireligieuse, pour l'amoralité posant en tant que science et pour les récits de chevet occulte que l'on lit aux enfants, et cela, respectivement.