Michel Renneteau
Pour les savants du siècle dernier, les Hittites n'apparaissaient que comme l'une des nombreuses petites tribus, plus particulièrement nomades, qui avaient peuplé l'Orient ancien, sans avoir laissé la moindre trace de leur existence. Ce qu'on en savait venait de la Bible, uniquement.
En effet, l'Ancien Testament en fait souvent mention, sous l'appellation plus fréquente de Hétiens, terme employé dans la plupart des traductions (Chouraqui : Hiti; Crampon : Hittites). Héthiens vient de Heth, qui apparaît comme le patriarche de cette tribu, ou ethnie. Heth est présenté comme étant arrière petit-fils de Noé (Genèse 10 : 1, 6, 15). Cela n'est donc pas récent.
Le mot Heth est mentionné 14 fois dans la Bible, et Héthien (singulier ou pluriel), 47 fois. Les gens d'Israël eurent fréquemment des rapports avec des Héthiens. Ces Héthiens constituaient une des dix tribus qui occupaient ce vaste territoire compris entre le Nil et l'Euphrate et dont Dieu promit la possession à Abraham et sa postérité (Genèse 15 : 18 à 21). Abraham acheta à Ephron le Héthien la caverne de Macpéla, pour y déposer la sépulture de Sara (Genèse 23 : 10 à 20). Esaü épousa deux Hétiennes (idem 26 : 34). David eut des contacts avec un certain Achimélec, Héthien (1 Samuel 26 : 6). Plus tard, des Israélites vécurent parmi des Héthiens et eurent avec eux des échanges matrimoniaux (Juges 3 : 5, 6). David épousa Bath-Schéba, veuve d'Urie, le Héthien (2 Samuel 11 : 2 à 27). Salomon avait des Héthiennes dans son harem (1 Rois 11 : 1), etc...
Au siècle dernier, l'archéologie, parmi d'autres sciences, était en plein essor, et les fouilles foisonnaient sur tous les sites du Moyen Orient, y compris l'Egypte, partout où des civilisations antiques étaient fortement soupçonnées d'y avoir laissé des vestiges.
Pour les érudits de l'époque, qui, comme je le disais au début, ne considéraient les Hittites (ou Héthiens) comme rien de plus qu'une des nombreuses tribus nomades de ces contrées, il ne fallait pas s'attendre à trouver, par l'archéologie, des vestiges témoignant de l'existence et de l'identité de cette peuplade, comme en laissent derrière elles les civilisations aux moeurs sédentaires.
Plusieurs textes bibliques laissaient quand même perplexes plusieurs de ces savants.
Samarie, capitale du royaume d'Israël, est assiégée par une puissante armée syrienne. Mais Dieu intervient en semant la panique dans le camp syrien qui est abandonné par les soldats. Comment ?.. Le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et de chevaux, le bruit d'une grande armée, et ils s'étaient dit l'un à l'autre : Voici, le roi d'Israël a pris à sa solde contre nous les rois des Héthiens et les rois des Egyptiens pour venir nous attaquer (2 Rois 7 : 6).
Ces textes laissaient fortement supposer que les Héthiens avaient constitué un peuple puissant, au territoire étendu, doté d'une armée suffisamment redoutable pour être mis, par les Syriens, sur un pied d'égalité avec les puissants Egyptiens. Ne passait pas inaperçue, également, la mention tous les rois des Héthiens.
Si ce peuple avait été si puissant, il devait bien exister quelque part des traces de leur civilisation. Or, rien n'en avait émergé jusqu'alors.
Les érudits matérialistes , les détracteurs de la Bible et tous ceux qui, même sans nier totalement la valeur de l'ouvrage, estiment qu'il faut être très réservé quant à sa capacité d'être, tout entière, la Parole de Dieu, estimant qu'une bonne part de ses textes sont des synthèses de récits puisés dans les traditions des nations païennes de la région, oui, tous ces gens exultent : “ Il est possible que ces Hittites aient existé, comme toutes les peuplades auxquelles, dans la Bible, ils sont associés, mais l'imagination fertile, avide de fantastique et de merveilleux, des auteurs bibliques, en a exagéré l'importance. La preuve, c'est que les Egyptiens et les Syriens, que la Bible présentent comme leurs égaux, ont laissé de nombreux vestiges archéologiques, alors que les Hittites, eux, rien! ”
En 1822, le déchiffrement de la fameuse “ pierre de Rosette ”, sur laquelle était gravée une inscription en grec et en égyptien, permit à Champollion de percer le secret des hiéroglyphes. La traductions de nombreux textes égyptiens apporta des renseignements sur le “ peuple de Kheta ”. Les experts assimilèrent ce nom aux “ Chittim ”. En 1300 avant J.C, Ramsès II avait combattu “ les abominables Kheta ” et leurs alliés à Kadesh, en Syrie. Ramsès II signa un traité de paix avec les gens de Kheta. Le texte en est gravé sur le mur d'un des temples de Karnak. Pendant un temps, ce fut tout ce qu'on put découvrir sur les Hittites.
En 1812, dans la ville syrienne de Hamâ, un jeune suisse, Johann L. Burckhardt en fit la description et nota que ces caractères ne ressemblaient pas du tout aux caractères égyptiens. Il mourut peu après, et la “ pierre de Hamâ ” tomba pratiquement dans l'oubli. Ses notes ne parurent qu'en 1922.
En 1871, un missionnaire irlandais, William Wright, examina la pierre et d'autres similaires. Une pierre portant le même type d'inscription fut découverte dans une mosquée d'Alep, à 160 km au nord de Hamâ.
Personne ne put déchiffrer ces étranges hiéroglyphes, mais l'archéologue anglais Archibald Sayce avança l'hypothèse d'une écriture hittite. Deux ans plus tard environ, une mission de fouilles du British Muséum découvrit la cité depuis longtemps disparue de Karkemish. C'était la ville située sur l'Euphrate que des inscriptions assyriennes datant de 1100 avant J.C. avaient décrite comme étant la “ capitale des Hattis ”. Les indices recueillis suggéraient donc que si Hattis et Hittites n'étaient qu'un même peuple, leur royaume se situait en Syrie.
Puis de nouveaux éléments plutôt surprenants se firent jour. Un voyageur anglais du nom de E.J. Davis déclara avoir vu des inscriptions similaires gravées dans le massif du Taurus, en Turquie méridionale. Cela remit à la mémoire des archéologues-détectives la découverte d'autres grandes gravures en relief, quelques années plus tôt, au nord de la chaîne du Taurus, sur le plateau d'Anatolie. Il n'était dès lors plus aussi certain que le foyer des Hittites se fut trouvé en Syrie. Sayce fit paraître un nouvel article intitulé “ Les Hittites en Asie Mineure ”, dans laquelle il avançait la nouvelle théorie. Mais, jusqu'alors, il n'existait aucune preuve. Personne ne pouvait affirmer que les hiéroglyphes en question étaient hittites, et nul ne savait les déchiffrer.
En 1887, les recherches prirent une nouvelle tournure. Une paysanne égyptienne qui cherchait de l'engrais dans le sol près du site de l'ancienne cité de Tell el-Amarna exhuma quelques tablettes d'argile. Elles portaient des inscriptions en caractères cunéiformes. Supposant que de tels objets pouvaient avoir une valeur, d'autres gens se mirent à creuser le site et, en un an, 200 tablettes se vendirent au marché noir au Caire. Le trafic des antiquités était interdit par les lois égyptiennes, mais quelques unes de ces tablettes parvinrent à des musées étrangers. Leur examen révéla qu'il s'agissait des archives du pharaon Akhenaton, qui régna de 1379 à 1361 avant J.C., et dont la capitale était proche de Tell el-Amarna, où furent trouvées les tablettes.
La plupart sont écrites en akkadien (le langage de Babylone) et elles sont toutes en caractères cunéiformes. On y trouve aussi des tablettes en provenance des chefs syriens et palestiniens fidèles à l'Egypte. Elles font référence aux activités militaires du roi de Hatti et se plaignent de ses agressions. De toute évidence, les Hittites étaient une puissance militaire. L'une de ces lettres, écrite elle aussi en akkadien, émane du roi des Hittites lui-même, Souppilouliouma. S'adressant au pharaon comme à un égal, il le félicite de son accession au trône. Les lettres d'Amarna faisaient donc entrer les Hittites sous les projecteurs de l'Histoire.
Les lettres qui parlaient des activités de l'armée hittite indiquaient son déplacement vers le sud, en Syrie et au Liban, ce qui fait penser que le royaume lui-même se trouvait au nord du Taurus, dans la moitié occidentale de la Turquie.
Dix ans environ après la découverte des tablettes d'Amarna, quelques tablettes gravées en “ arzawan ” furent trouvées en Turquie du Nord, près du village de Bogazköy. L'attention portée par les archéologues à la morne plaine d'Anatolie était encore récente. Jusqu'alors, ils s'étaient entièrement consacrés aux chantiers de fouilles des cités légendaires de Mésopotamie et de l'Egée, et aux temples et sépultures d'Egypte. Il y avait bien quelques vestiges intéressants dans la région de Bogazköy, mais rien n'indiquait qu'une civilisation très avancée y eut existé autrefois. Il n'y avait donc pas de raison de fouiller cette contrée désolée pour y retrouver une hypothétique civilisation disparue.
Pourtant, les ruines de Bogazköy avaient été mises au jour dès les années 1830. Un Français, Charles-Félix-Marie Texier, y avait découvert les restes d'une cité “ aussi large qu'Athènes au temps de sa splendeur ”. Elle était entourée d'une muraille dont les portes étaient ornées de sculptures de lions et de sphynx. A peu de distance, Texier avait trouvé un assemblage de rocs décorés de hauts-reliefs et de hiéroglyphes. On établit par la suite la similitude de ces décorations avec celles de Hamâ et d'Alep. Vers la fin du XIXème siècle, le site de Bogazköy commença d'attirer l'attention. On possédait en effet des exemples des deux types d'écritures : les hiéroglyphes “ hittites ” et les cunéiformes “ arzawan ”. (cunéiforme : en forme de coin. A l'aide d'un coin de pierre, on faisait des empreintes dans des tablettes d'argile frais, tablettes qui étaient ensuite séchées et cuites, au soleil ou au four).
Parmi les gens qui s'y intéressèrent figure le docteur Hugo Winckler, spécialiste de l'écriture cunéiforme à l'université de Berlin. Il s'était familiarisé avec les textes “ arzawan ” de Tel el-Amarna et était allé au Liban en 1903 pour rechercher d'autres écrits dans cette langue. Quelques mois après son retour à Berlin, il recevait par la poste une tablette en “ arzawan ”. Elle lui était envoyée par un conservateur de musée turc, le bey Macride. Winckler, sans tarder, partit pour Constantinople. Macride lui révéla que la tablette provenait de Bogazköy. Les deux hommes se mirent en route vers ce village perdu. Winckler recueillit 34 autres tablettes de caractères cunéiformes.
L'été suivant, en 1907, il obtint une subvention pour les fouilles de Bogazköy. Les villageois du coin se mirent à creuser, tandis que Winckler examinait et répertoriait les centaines de tablettes que l'on déterrait. La plupart étaient rédigées en “ Arzawan ”, donc indéchiffrables, mais quelques- une étaient en akkadien, que Winckler lisait aisément. Sur l'une d'elles, il lut ceci :
“ Le traité passé entre Ramsès, Bien-Aimé d'Amon, Grand Roi du pays d'Egypte, héros, et Hattusilis, Grand Roi, Roi du pays de Hatti, son frère, qui garantit la paix et la fraternité pour toujours dans les bonnes relations entre les Grands Royaumes... ”
Ce n'était rien de moins que l'instrument du traité de paix conclu après la bataille de Kadesch, celui-là même qui était gravé en hiéroglyphes égyptiens sur les murs du temple de Karnak. Cette alliance ne vous rappelle-t-elle pas ce que les Syriens assiégeant Samarie se disaient, rapporté par le texte biblique cité plus haut : “ Voici, le roi d'Israël a pris à sa solde contre nous les rois des Héthiens et les rois des Egyptiens pour venir nous attaquer (2 Rois 7 : 6). Je rappelle également que, selon les découvertes archéologiques, les Hittites avaient une puissance militaire importante, si l'on en juge par ce traité de paix passé entre les deux puissances du moment : les Egyptiens et les Hittites, ces derniers capables de faire trembler cette autre puissance redoutable : les Syriens. C'est ainsi : Quand on craint d'être vaincu dans un combat avec un ennemi puissant, il est plus sage de faire la paix avec lui. Jésus l'a rappelé, par une parabole célèbre (Luc 14 : 31, 32).
Sur les 10.000 tablettes exhumées à Bogazköy, il y en avait assez en Akkadien pour permettre aux chercheurs de commencer à reconstituer l'histoire jusqu'alors ignorée des Hittites. L' “ arzawan ” était visiblement leur langage. Quant aux hiéroglyphes inconnus, relativement peu nombreux, les plilologues furent incapables d'en déterminer la relation avec le langage cunéiforme des Hittites, si tant est qu'il y en eut une. Un savant tchèque, F. Horzny et d'autres linguistes réussirent à déchiffrer le hittite cunéiforme utilisé entre 1900 et 1100 avant J.C. Une vaste littérature dans cette langue devint accessible : annales, textes religieux et mythes, portions de codes de lois, etc...
Quel qu'ait pu être le berceau du peuple hittite, il s'implanta en Anatolie aux environs de 1900 avant J.C. Nous le savons par des récits de marchands assyriens. Les Assyriens contrôlaient en effet à l'époque les routes commerciales entre l'Anatolie et la Mésopotamie. Ils avaient même établi plusieurs centres commerciaux en Anatolie même. Ils tenaient à jour avec soin le compte rendu de leurs affaires avec la population locale. Les archives découvertes à Kültepe (l'ancienne Kanesh) contiennent un certain nombre de noms hittites parmi ceux des Hattites. Nous appelons aujourd'hui ces dérivés des “ Proto-Hittites ”.
sceau cylindrique hittite | impression du sceau cylindrique |
Vous estimez peut-être que je me suis un peu trop étendu sur les recherches archéologiques concernant les Hittites, par un luxe de détails superflus. A vrai dire, je n'ai extrait que l'essentiel de la plus abondante documentation que je possède sur le sujet.
Ce faisant, je veux mettre l'accent justement sur le sérieux des scientifiques honnêtes et scrupuleux qui ne se contentent pas d' “ à-peu-près ” dans leurs investigations et leurs conclusions. Le cas le plus fréquent chez d'autres “ scientifiques ” est qu'ils se contentent de quelques rudiments de connaissances pour établir et prononcer ce qu'ils appellent des principes, mais qui ne sont en vérité que des dogmes.
J'ai remarqué souvent, et ceci en tous domaines, qu'on ne fait pas toujours des recherches pour découvrir des éléments réels et concrets, lesquels, rassemblés et synthétisés, doivent nous permettre de tirer des conclusions sérieuses, établir des principes, et se faire une idée reposant sur des bases solides et authentiques.
Non, le plus souvent, on s'est déjà fait une idée, ou on a saisi au vol une opinion qui nous plaît, et on commence les recherches dans le but de trouver, non la vérité, mais tout ce qui peut confirmer, conforter, démontrer l'idée préconçue qu'on a adoptée, parce qu'elle nous plaît, qu'on s'y est installé confortablement, qu'on l'a proclamée devant un grand nombre de nos semblables, et qu'on ne veut surtout pas en changer. Dans la foulée de cette tournure d'esprit, on passe sous silence, on méprise ou on rejette tout ce qui plaide en faveur du contraire, même s'il y a davantage d'arguments en faveur de ce contraire.
Certains archéologues humanistes et matérialistes du siècle dernier, en grattant quelques centimètres de terre sur quelques sites archéologiques du Moyen Orient, et ne trouvant rien qui atteste l'existence des Hittites (ou Héthiens), sans oublier une antipathie manifeste pour la Bible, avaient hâtivement conclu :
“ Ce peuple, tel que nous le décrit la Bible, n'a jamais existé; alors, prudence avec la Bible! Si elle s'est trompée, ou a exagéré (ce qui semble évident), elle a très bien pu en faire autant avec une bonne partie, sinon tout, de ce qu'elle nous enseigne ”.
Je me réjouis, et je remercie Dieu pour la fidélité, l'honnêteté et l'attitude scrupuleuse des prophètes qu'il a choisis pour transmettre ses paroles au monde des humains.
Voici ce que Luc écrit pour introduire l'Evangile qui porte son nom : Plusieurs ayant entrepris de composer un récit des évènements qui se sont accomplis parmi nous, suivant ce que nous ont transmis ceux qui ont été des témoins oculaires dès le commencement et sont devenus des ministres de la parole, il m'a aussi semblé bon, après avoir fait des recherches exactes sur toutes ces choses depuis leur origine, de te les exposer par écrit d'une manière suivie, excellent Théophile, afin que tu reconnaisses la certitude des enseignements que tu as reçus (Luc 1 : 1 à 4).
Et les authentiques témoins et propagateurs de l'Evangile, tels ces Juifs de Bérée qui, à l'audition de ce que leur disait Paul, évangéliste et apôtre, reçurent la parole avec beaucoup d'empressement, et ils examinaient chaque jour les Ecritures pour voir si ce qu'on leur disait était exact (Actes 17 : 11).
Recevoir la parole avec beaucoup d'empressement ne leur suffisait pas. Ils voulaient vérifier si c'était conforme aux Ecritures. Voilà une attitude, humble, honnête... et noble, précise le texte.
Mais c'est, hélas, loin d'être toujours le cas. Combien acceptent avec beaucoup d'empressement n'importe quelle ânerie, n'importe quel bobard ou canular, scientifique, philosophique, religieux ou autre, parce que ça plaît, c'est nouveau, c'est original, c'est bien dit... ou cela est cru par le plus grand nombre depuis longtemps. Mais vérifie-t-on? Contrôle-t-on? Examine-t-on? Fait-on des recherches, des investigations, des enquêtes? Très souvent, on ne dispose d'aucune source, d'aucune base, d'aucun élément pour faire ces recherches. Pourquoi? Parce qu'il n'y en a pas, et qu'il n'y en a jamais eu !
Alors, on “ gobe ”, parce que c'est facile, plaisant, confortable ou flatteur... et cru par tout le monde... du moins le croit-on.
Eternel! Tes commandements me rendent plus sage que mes ennemis, car je les ai toujours avec moi. Je suis plus instruit que tous mes maîtres, car tes préceptes sont l'objet de ma méditation. J'ai plus d'intelligence que les vieillards, car j'observe tes ordonnances...
Par tes ordonnances je deviens intelligent, aussi je hais toute voie de mensonge...
La révélation de tes paroles éclaire, elle donne de l'intelligence aux simples (Psaume 119 : 98 à 100; 104; 130).
Mais, mais... L'insensé dit en son coeur : Il n'y a pas de Dieu (Psaume 14 : 1).
[1] - Ce texte est un extrait du livre: La
science commence par la crainte de Dieu. Éditions le Lampiste 1996
190 p. Pour commandes, cliquez ici.
Voir aussi Les Hitites
(Theonoptie.com)
Apologetics Press (2010) Armchair Archaeology and the New Atheism. Creation Revolution
JANUS, Owen (2012) Ancient
life-size lion statues baffle scientists. July 27 LiveScience (découvertes
archéologiques hittites)
KUEN, Alfred (2012) L’archéologie confirme la Bible.Emmaus 264 p.