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Éthique et culture religieuse.


Éthique et culture religieuse: le problème?

Vidéos produits par Réal Gaudreault et son équipe (YouTube)


Éthique et culture religieuse : le problème?
Le monde de l’Éducation au Québec a subi de profonds bouleversements au cours des deux dernières décennies. Depuis 1992, pas moins de neuf ministres de l’Éducation ont mené l’école québécoise à travers une réforme douteuse qui s’avère actuellement un échec monumental pour tous les enfants québécois. Ne devrait-on pas attribuer la nature de cet échec à de l'incompétence? Non seulement les artisans de cette réforme ont-ils lamentablement échoué, mais ils poursuivent son implantation avec un cours de religion d’État : Éthique et culture religieuse. Que dire de plus? Résistons.


Capsule 1 : Introduction
Depuis septembre 2008, le gouvernement du Québec impose un cours de religion d’État à tous les enfants québécois. Pourtant, vers la fin des années 90, on avait procédé à la déconfessionnalisation des structures scolaires québécoises. Au Québec, c’est l’État qui se donne le rôle de redéfinir le bien et le mal. C'est aussi l'État qui instruit l’enfant à la religion. Ce cours de religion est une déconstruction de l’héritage familial au profit d’une reconstruction idéologique aux dimensions du pluralisme religieux, véritable concept théologique qui date de plus d’un siècle.


Capsule 2 : Une idéologie d’État
Le cours Éthique et culture religieuse est une idéologie de l’État. Pour justifier l’imposition de ce cours à tous les enfants québécois, la commission Bouchard/Taylor fut l’excellent prétexte dont avait besoin le gouvernement du Québec. L’école doit enseigner les matières générales à nos enfants. Toutefois, lorsqu’elle se donne le rôle de présenter une idéologie religieuse, on se retrouve en pleine propagande. Nombreux sont ceux qui dénoncent les abus du gouvernement. Soyez du nombre et dénoncez ce dérapage démocratique sans précédent au Québec.


Capsule 3: L'idéologie elle-même
Selon Fernand Ouellet, « l'identité trop massive » des Québécois pose un problème. Cet identitaire nécessite qu'on y introduise la dissonance. Le cours ÉCR est donc une manoeuvre de l'État québécois pour défaire cet indentitaire par une forme de propagande idéologique sans précédent.


Capsule 4: Idéologie et propagande
Au-delà des objectifs du cours ÉCR, qui insistent sur le dialogue, l'ouverture à l'autre et le mieux vivre ensemble, quelque chose du domaine de la propagande idéologique et médiatique nous est imposé de manière unilatérale. Entre ce que le MELS et les commissions scolaires nous disent sur les supposés avantages de ce cours et les changements réels qui se produiront dans la vie de nos enfants, l'écart est énorme. Nous sommes devant une religion d'État.


Capsule 5: L’homme nouveau genre
À la lecture des programmes et des ouvrages qui accompagnent la mise en place du cours ÉCR dans nos écoles, on découvre un projet qui consiste à redimensionner la société québécoise et à créer un homme nouveau genre qui pense autrement. L’homme de l’avenir se voudra un homme aux valeurs pluralistes, capable de tout accepter et incapable de se distinguer.


Capsule 6: Mme la ministre de l’Éducation
Lors de son passage à l’émission Tout le monde en parle, la ministre de l’Éducation a déclaré que les parents devraient être plus présents au cœur de l’école publique. Cette affirmation est plutôt curieuse si on tient compte que, dans les faits, le milieu de l’éducation a plutôt agi de sorte à éloigner les parents des milieux de l’éducation. Cette mouvance philosophique vient d’aussi loin que du XVIIIe siècle, celle qui considère les parents comme l’élément le plus nuisible au bon développement de l’enfant.


Capsule 7: L'incompétence des parents?
Vers le milieu du XVIIIe siècle, Jean-Jacques Rousseau, dans son traité sur l'éducation intitulé Émile, remettait en question la qualité du rôle des parents dans l'éducation des enfants. Selon lui, l'État doit prendre cette charge en se dotant de lois et ce, sans se soucier de se qu'en pensent les parents.


Capsule 8 : Le MELS récupère les idées de Rousseau
Jean-Jacques Rousseau est à l'origine d'au moins trois approches éducatives : l'enfant roi, le parent nuisible et le pouvoir total de l'État dans l'éducation. Ces trois approches ont été récupérées par le ministère de l'Éducation du Québec. Tout comme Rousseau l'affirmait au XVIIIe siècle, que les parents sont incompétents, le MELS l'affirme également actuellement.


Capsules 9: La République des bien-pensants
Pour assujettir un peuple, nul besoin de lui faire la guerre, faites-lui plutôt l’école. De Voltaire, en passant par Helvétius ou Robespierre, l’idée qui trône au milieu de la République des bien-pensants est que les philosophes sont les seuls qui sont en mesure d’instruire sur le bon, le bien et le vrai.  Ici au Québec, nos bien-pensants ont fait encore mieux : ils ont réussi, par la loi, à forcer le peuple à s’abreuver de leurs très excellentes rêveries philosophiques.


Capsules 10: Messieurs les biens-pensants, ouvrez donc une école!
Messieurs les bien-pensants (G. Leroux, F. Ouellet, J. Racine, D. Watters), avez-vous déjà pensé à ouvrir une école pour expérimenter vos théories sur vos propres enfants? car c’est bien le pluralisme qui est l’objet de votre dévotion…  Et qu’est-ce que le pluralisme sinon une mouvance religieuse syncrétique qui soutient que Dieu, la Réalité ultime, est la somme de toutes les révélations religieuses.  Il n’y a rien de neutre dans cette approche puisqu’il s’agit d’une croyance qui s’apparente au nouvel âge, voire même au gnosticisme ancien.


Capsule 11 : Free2choose80
La capsule 8 a suscité quelques commentaires d’une certaine personne utilisant le pseudo «free2choose80» qui croit, comme Rousseau, que les parents sont incompétents. Cette personne semble pourtant ignorer que les statistiques montrent que le décrochage scolaire, le taxage, la drogue, le harcèlement sexuel et j’en passe, sont des problèmes que les diplômés du MELS et les neuf derniers ministres de l’éducation n’ont pas été en mesure de régler. À la vue de ces statistiques, nous constatons que la compétence n’est pas nécessairement une affaire de diplômes, du moins pas ici au Québec.


Capsule 12 : Tout ce qu'on ne nous dit pas
M. Denis Watters n’est plus à l’emploi du MELS, il est consultant à son propre compte. Dans les outils produits par M. Watters (DVD, livrets, conférences), on y trouve des éléments qui s’apparentent en tous points à une forme de propagande qu’utilisaient les hauts dirigeants de l’URSS pour donner une image plus positive du régime soviétique. Le truc est fort simple : dites le maximum de choses positives et ignorez volontairement tous les éléments nuisibles à la cause.


Capsule 13: L'échec de la réforme scolaire
Le cours Éthique et culture religieuse serait la pièce maîtresse et ultime de la réforme scolaire entreprise il y a une dizaine d’années. Pourtant, cette réforme était, selon les ministres péquistes de l’époque, l’outil à tous les maux de notre système d’éducation. Mais voilà, la réforme est un échec lamentable, un vrai gâchis selon certains spécialistes. Insatisfaits d’avoir tout gâché, nos savants penseurs de l’éducation nous reviennent en plus avec un cours de religion d’État. Wow!


Capsule 14: L'échec de la réforme scolaire (suite)
Le Québec apprécie plus que nulle part ailleurs l’incompétence. Pour s’en convaincre, notons que des neuf derniers ministres de l’Éducation depuis 1992, aucun n’a été enseignant dans une école. Plusieurs spécialistes de l’éducation au Québec s’opposent en bloc à cette réforme pédagogique qui a tout gâché. Toutefois, nombreux aussi sont les politiciens et technocrates qui persistent et signent afin que le Québec s’enfonce davantage dans la médiocrité. À quand le jour où on mettra tout ce beau monde à la porte une fois pour toutes?


Capsule 15 Que de promesses non tenues!
C’est par une conférence de presse dithyrambique que le ministre de l’Éducation, M. François Legault, présente la mise en place de la réforme scolaire en mai 2000. Les sophismes les plus extraordinaires sont exploités à outrance au point même où le système scolaire québécois y est qualifié de meilleur au monde. Moins de dix ans plus tard, c’est la catastrophe. Rien n’était vrai et rien n’a fonctionné comme prévu. Au lieu de tout arrêter, le MELS persiste et signe en allant de l’avant avec un cours de religion d’État : Éthique et culture religieuse.


Capsule 16 Qu’est-ce que le constructivisme radical?
Qu’est-ce qui n’a pas fonctionné? Le constructivisme radical est un élément central de la réforme pédagogique québécoise. Cette approche pédagogique est loin de faire l’unanimité parmi les experts québécois des facultés des sciences de l’éducation. Selon l’avis de plusieurs, elle est directement responsable du chaos qui règne dans notre système scolaire québécois. Non seulement cette approche ne produit pas les fruits espérés, mais pis encore, elle est le principal pilier du cours Éthique et culture religieuse. Incroyable, non?


Capsule 17 : Désinformation politique
Le cours ÉCR ainsi que le projet de déconfessionnalisation des structures scolaires vers la fin des années 90 résultent d’une tactique de désinformation spectaculaire auprès de la population québécoise. Il y avait supposément un consensus populaire. Est-ce bien vrai? La vérité est toute autre. Voyons un peu.


Capsule 18 : Main dans la main pour désinformer
Politiciens, syndicalistes et philosophes ont tour à tour prêté leur voix à une idée commune : celle qui prétend que le projet de déconfessionnalisation des écoles québécoises et d’implantation du cours ÉCR découle d’un large consensus populaire. Qui sont ceux qui ont participé à ce sinistre projet? En voici quelques-uns.


Capsule 19 : Tous unis dans le même mensonge
On nous disait donc que les Québécois ont manifesté leur accord presque unanime à l’implantation du cours ÉCR. Pourtant, les sondages prouvent le contraire. Plus que tous les autres, les députés et ministres du P.Q. ont manipulé l’opinion publique avec une facilité déconcertante.


Capsule 20 Le Parti libéral et la désinformation
Notre premier ministre Jean Charest ainsi que sa ministre de l'Éducation Mme Michelle Courchesne s'y connaissent bien en désinformation. Les deux prétendent que le cours ÉCR reçoit l'appui d'une large majorité de citoyens au Québec. Que dire de Mme Courchesne qui juge que ce cours est bon alors qu'elle en sait très peu sur son contenu!


Capsule 21 Le Comité sur les affaires religieuses
En 2000, on assiste à la déconfessionnalisation des structures scolaires québécoises. Il n'y aura donc plus de cours de religion dans les écoles au Québec. Pourtant, la même année, le gouvernement crée le Comité sur les affaires religieuses, un groupe de travail qui publie des textes sur la religion dans les écoles. Étrangement, en 2008, on nous ramène un cours de religion (ÉCR). Plutôt drôle, non!


Capsule 22 Mme Marois et Mme Malavoy, même parti, même délire
Dans les années 90, les députés et les ministres du P.Q. ont travaillé très fort à la déconfessionnalisation du système scolaire québécois. Or, comme il leur manquait de bons arguments, ils ont cru bon en inventer de toutes pièces. Les plus savoureux sont ceux de Mme Marois et de Mme Malavoy qui, ensemble, battent tous les records de déclarations tordues et mensongères. Pauvres Québécois! car elles veulent en plus prendre le pouvoir au Québec.


Capsule 23 Quel consensus M. Charest?
Samedi le 25 arvil 2009 avait lieu à Drummondville une marche qui réunissait des parents mécontents de se voir privés de leurs droits parentaux en matière de morale, d’éthique et de conscience religieuse. Mais voilà que le premier ministre M. Jean Charest affirme au bulletin de nouvelles de fin de soirée que le cours ÉCR fait consensus au sein de la population.


Capsule 24 Une loi à modèler...
Selon le premier ministre Jean Charest, le cours ÉCR est conforme aux lois québécoises. Évidemment, rien n’est illégal pour celui qui détient le pouvoir de manipuler les lois au gré de ses fantaisies. Pourtant, des lois sont transgressées toutes les fois que les Commissions scolaires refusent les demandes d’exemption. En effet, le gouvernement du Québec viole l’Article 13,3 du Pacte des Nations Unies sur l’Éducation en imposant le cours ÉCR.


Capsule 25 Marilyn Manson dans les écoles publiques?
Les textes du chanteur américain Marilyn Manson sont reconnus pour faire la promotion de la violence sous toutes ses formes. Ils encouragent notamment le suicide chez les jeunes. Pourtant, en 1999, le ministère de l’Éducation du Québec distribue des affiches de ce chanteur dans toutes les écoles du Québec. Selon le MEQ, une batterie d’experts n’y voyaient rien de grave. Incroyable, non? Aujourd’hui, ces mêmes experts veulent instruire nos enfants sur la religion.


Capsule 26 Écoles de la réincarnation subventionnées par l’État
En 2000, le P.Q. achève la déconfessionnalisation des structures scolaires au Québec. En 2002, le ministre de l’Éducation Sylvain Simard (Parti Québécois) approuve et renouvelle la licence des écoles Rudolf Steiner (Woldorf), lesquelles ne suivent pas le programme du MELS. Non seulement cela, ces écoles subventionnées par l’État fondent leur pédagogie sur la doctrine de la réincarnation et du karma hindou. Plutôt étonnant, non?


Capsules 27 Le droit de choisir
Dans le site Internet de l’émission Second Regard, des dizaines de Québécois affirment que le gouvernement fait fausse route en imposant le cours de religion ECR. Mais que cela ne tienne, il se trouve aussi des gens qui croient qu’enseigner leurs convictions a leurs enfants relève d’un viol de leur conscience. Ah oui? Voyons un peu!


Capsule 28 Que fera le Parti québécois?
Ce n’est plus un secret pour personne : la tourmente que suscite le cours Ethique et culture religieuse rend certains péquistes très mal a l’aise. Pourquoi? Parce que Mme Marois en a pose les premiers jalons alors qu’elle était ministre de l’Education. Comment les péquistes vont-ils se sortir de cette sale affaire? Mme Marois, la sociale démocratie, cela vous rappelle-t-il quelque chose?


Capsule 29 Les vérités universelles I
Au Palais de justice de Drummondville s’est tenu, la semaine dernière, un procès intenté par une famille contre la Commission scolaire des Chênes. M. Georges Leroux (pour un procès verbal commenté de son contre-interrogatoire, cliquez ici), un témoin expert du gouvernement, nous apprendra notamment que le cours ÉCR ne doit pas être sujet au régime d’exemption à cause de son caractère universel. Eh bien, oui. Le cours ÉCR est fondé sur des vérités universelles dont nos enfants ne doivent pas être privés.


Capsule 30 Les vérités universelles II
Selon Georges Leroux, une vérité universelle est une vérité que partage naturellement l’ensemble des peuples du monde. « Tu ne tueras point » est un exemple de ce qu’est une vérité universelle selon Leroux. Mais qui donc peut se targuer d’être à la fois juge et arbitre de ce qu’est une vérité universelle? Croyez-le ou non, il paraît que, au Québec, nous sommes en possession de ce savoir extraordinaire et que c’est là une des raisons qui pousse l’État à imposer le cours ÉCR dans toutes les écoles du Québec.


Capsule 31 Rétrospective
Dans cette 31e capsule, je vous propose de revoir l’ensemble de la problématique que pose le cours ÉCR et son implantation forcée dans les écoles québécoises. D’un seul coup d’œil, cette capsule vous permet de suivre l’historique des modifications légales et de prendre connaissance des motivations idéologiques qui se cachent dans ce cours de religion imposé par l’État québécois.


Capsule 32 Dictature du progrès
Les deux personnes chargées de l’implantation du cours ÉCR dans les écoles québécoises, M. Watters et M. Pettigrew, ont des intérêts financiers privés dans cette affaire. Rien d’illégal, sans doute. Mais est-ce que cette situation ne les place pas dans une situation délicate sur les plans moral et éthique? De plus, le Québec subit l’assaut d’une dictature, celle du progrès à tout prix. Or, en regardant la condition de notre système scolaire actuel, pouvons-nous réellement affirmer qu’il progresse?


Capsule 33 - ECR - 15 personnes ont décidé
Georges Leroux lui-même confirmait devant la cour du Palais de justice de Drummondville que c’est un comité de 15 personnes qui a été chargé de faire des recommandations au gouvernement au sujet du cours ÉCR. Seulement 15 personnes ont décidé de l’avenir culturel et religieux du Québec. Ensuite, les 125 députés de l’Assemblée nationale ont appuyé ce projet sans même prendre le temps de le soumettre au vote. Vraiment, on est devant un grave problème.


Capsule 34 - Un nouveau sondage très révélateur
Entre le 13 et le 17 mai dernier, la firme Léger Marketing a produit un sondage dans lequel 76% des répondants ont affirmé que le choix de l’enseignement religieux confessionnel doit rester l’affaire des parents. Ce résultat, 76% des Québécois, équivaut en chiffre réel à l’opinion de plus ou moins 5 millions de personnes. Oui, il y a un très large consensus, mais, contrairement à ce qu’affirme M. Jean Charest, ce consensus n’appuie pas le gouvernement et le MELS qui imposent de force un cours de religion d’État à tous les enfants québécois.


Capsule 35 - À qui profite le crime?
Comment se fait-il que les syndicats qui représentent les enseignants québécois sont pratiquement muets au sujet du cours ÉCR? Les professeurs aussi ont perdu des droits importants dans cette affaire. Par ailleurs, les théologiens québécois appuient en bonne partie l’imposition du cours ÉCR. Mais pourquoi donc? Dans les faits, ce cours est une occasion extraordinaire de relancer les grandes facultés de théologie des universités québécoises qui se mouraient au cours des dernières années. Encore une question de fric?


Capsule 36 - L’hindouisation des structures scolaires québécoises
Après la déconfessionnalisation des structures scolaires dans les années 90, nous voici arrivés à l’hindouisation de ces mêmes structures. En effet, les écoles québécoises permettent la pratique du yoga dans un grand nombre de leurs établissements. On nous dira que le yoga en question n’a rien de religieux. Or, c’est faux. Le yoga est une pratique religieuse liée à l’hindouisme. Cette pratique est même considérée par plusieurs spécialistes du yoga comme une pratique potentiellement dangereuse pour la santé de nos tout-petits.


Capsule 37 - ÉCR = Le multiculturalisme canadien
Qui aurait cru qu’un jour le P.Q. servirait les intérêts du multiculturalisme canadien de Pierre Elliot Trudeau? En souscrivant à l’imposition du cours ÉCR dans les écoles québécoises, Pauline Marois contribue à l’affaiblissement de l’identité québécoise. Mme Marois, pourquoi voulez-vous l’indépendance? Ou plutôt pour qui? Dans 30 ou 40 ans, il n’y aura plus de petits Québécois au Québec, mais juste de petits « multiculturalisés » dopés aux idéologies de l’État.


Capsule 38 - ÉCR = Finalités politiques de l’État
Dans divers articles, Georges Leroux y va de déclarations très claires : le cours ÉCR veut assigner des finalités que l’État détermine pour lui-même, et qui sont d’abord sociales et politiques. Ce projet politique qu’est le cours ÉCR serait le « remède » pour contrer le fondamentalisme religieux au Québec. Eh oui, les croyants sont des gens qu’il faut dès maintenant « guérir » de leur fondamentalisme religieux !


Capsule 39 Le groupe de travail sur la place de la religion à l'école
En 1999, le Groupe de travail sur la place de la religion à l'école accouche du Rapport Proulx. Il faut prendre le temps d'y jeter un coup d'œil pour se rendre compte de tout le mépris qu'avaient les membres de ce groupe de travail envers la volonté des Québécois au sujet de la religion à l'école. De l'avis de ce groupe de travail, l'opinion du peuple exprimée dans les sondages est souvent ou bien « irréfléchie », sinon « aberrante ».


Capsule 40 La présence du Yoga à l'école
En juin 2008, la Commission des droits de la personne publie un texte de réflexion dans lequel elle semble fort bien s'amalgamer aux désirs gouvernementaux en ce qui concerne le cours ÉCR. Pis encore, le texte mentionne que les enseignants devront « inciter » les élèves à critiquer les valeurs religieuses qui ne sont pas exactement alignées sur les lois étatiques. Aussi, cette capsule est l'occasion de revenir sur la présence du Yoga à l'école.


Capsule 41 Dangers du Yoga dans le système scolaire du Québec
Au cours de la dernière année, des parents du Québec ont découvert que leurs enfants étaient exposés à des séances de yoga à l'école. Cette capsule vous informe davantage sur les dangers que peuvent représenter cette pratique religieuse. Comment le gouvernement justifie-t-il cette présence religieuse dans les écoles après avoir déconfessionnalisé les structures scolaires québécoises?