Le diable est un esprit triste, et il afflige les hommes; aussi ne peut-il souffrir que l'on soit joyeux. De là vient qu'il fuit au plus vite lorsqu'il entend la musique, et qu'il ne reste jamais lorsque l'on chante surtout de pieux cantiques. C'est ainsi que David délivra, avec sa harpe, Saül qui était en proie aux attaques de Satan. Le docteur Luther dit, en 1541, que la musique était un don de Dieu qui était tout à fait en opposition avec le diable, et qu'on pouvait s'en servir pour éloigner les pensées et les tentations dont il nous assaille, car le diable ne peut souffrir la musique.
(Martin Luther - Les Propos de Table - 1566)
"... our culture has so redefined art that the word has become meaningless. "Art" no longer represents the highest thoughts and aspirations of man. You can now walk down the main streets in America and find the pornographic theatres labeled as "Art cinemas". "Art" no longer requires transcendent and inspired human skills to produce, and the word decadent falls hopelessly short of describing its moral status. It now includes the most repulsive sort of filth imaginable, all protected under the umbrella of free speech and artistic expression, and for society to set some standard as to what is acceptable, or to even describe a recording's contents with a label brings cries of "Fascist censorship! Don't impose your morality on me!" It would be interesting if the same standards that they want removed from their art were to be removed from the food they eat."
(p. 210 - Kerry Livgren – Seeds of Change, 2nd ed. - 1991)
Et il dit aux Juifs qui avaient cru en lui: Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. Ils lui répondirent: Nous sommes la postérité d'Abraham, et nous ne fûmes jamais esclaves de personne; comment dis-tu: Vous deviendrez libres? En vérité, en vérité, je vous le dis, leur répliqua Jésus, quiconque se livre au péché est esclave du péché. Or, l'esclave ne demeure pas toujours dans la maison; le fils y demeure toujours. Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres.
(Jean 8: 31-36)